Saint DX

Son album Way Back Home, et son single “Jamais vu le jour”
maintenant disponibles

Saint DX dévoile le clip de son nouveau single “Jamais vu le jour” ainsi que son nouvel album Way Back Home, disponible en vinyle et sur toutes les plateformes digitales.

Écouter « Way Back Home »

Regarder le clip de « Jamais Vu Le Jour »

Réalisé par Juana Wein, jeune réalisatrice franco-argentine, le clip de “Jamais vu le jour” propulse l’artiste dans un paysage de haute-montagne à la fois onirique et inquiétant où, comme vagabondant dans les limbes de sa mémoire, Saint DX revit en boucle les souvenirs d’une histoire d’amour passée qu’il préfèrerait oublier.

Saint DX : “C’est une chanson que j’ai co-écrite avec l’artiste Noor, une amie qui m’est devenue chère. Elle parle de la douleur qui nous pousse à désirer que l’être aimé n’ait jamais existé. Une douleur à laquelle il nous est impossible d’échapper, que l’art et le temps ne font que sublimer.”

Voir la Deezer Sessions de “Jamais Vu Le Jour”

Way Back Home est le premier album de Saint DX, dont le titre révélateur insiste sur le caractère introspectif de son œuvre : une maison comme représentation de soi, comme carte mentale, comme une constellation des références qui le composent en tant qu’artiste. Cette quête pourtant si intime le voit accueillir à bras ouverts une foule de collaborations : entre autres les belges Ponko et Prinzly, co-producteurs à ses côtés sur l’album QALF de Damso.

Ecouter l’album Way Back Home

Cette force du collectif fait écho à l’esprit de groupe qui a marqué sa carrière antérieure, puisqu’Aurélien Hamm n’a pas fait ses premiers pas musicaux avec SDX, le premier EP de Saint DX, en 2019. On a en effet d’abord pu le croiser au sein du quatuor Apes & Horses, encensé par Wu Lyf, puis au service d’autres artistes : entre autres en tant que producteur pour Damso et Disiz, ou encore en tant que musicien pour Charlotte Gainsbourg dont il aura aussi fait les premières parties.

Way Back Home vient dépeindre le paysage intérieur de Saint DX qui prend son origine à mi-chemin entre la fin des années 1980 et le début des années 1990. Bercé par les B.O. de films qui ont marqué son enfance, le futur Saint DX se trouve très tôt happé par les sonorités envoûtantes du synthé DX7 de Yamaha, auquel il rend clairement hommage dans son pseudo. Trois morceaux, en particulier, l’auront marqué au fer rouge : “Take My Breath Away” de Berlin (dans Top Gun), “Merry Christmas, Mr. Lawrence” de Ryuichi Sakamoto (dans Furyo) et “The Big Blue Overture” d’Eric Serra (dans Le Grand Bleu).

« Un album qui lorgne du côté de Phil Collins et Sade »

« Une lettre d’amour au pouvoir d’évocation de la musique »

« Le poignard au coeur qu’il manquait à cet hiver difficile »