London Grammar

LE RETOUR DU TRIO BRITANNIQUE

NOUVEL ALBUM « The Greatest Love » –  DISPONIBLE LE 13/09

Onze ans après leur premier album « If You Wait », certifié disque de platine en France et double-platine au Royaume-Uni, London Grammar sortent leur quatrième album, « The Greatest Love ». Le groupe continue de se frayer un chemin unique, célèbrant une nouvelle fois une liberté totale de création. Avec 3 millions d’albums vendus dans le monde entier, deux albums classés numéros 1 des ventes au Royaume-Uni et de nombreuses nominations, notamment aux BRIT Awards, Hannah Reid, Dan Rothman et Dot Major, qui se sont rencontrés à l’université de Nottingham, connaissent une longévité et un succès rares. « En arriver là est la plus grande fierté de ma vie », affirme Hannah, chanteuse et compositrice du groupe.

London Grammar entrent désormais dans leur deuxième décennie d’existence et leurs instincts de musiciens n’en sont que décuplés, les poussant vers une nouvelle confiance artistique. « Ces deux dernières années ont changé nos priorités et notre façon de travailler en tant qu’artistes », ajoute Hannah. « C’est une grande partie de notre histoire ». 

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Le groupe revient aujourd’hui avec « The Greatest Love », fruit d’une période de créativité débordante. On y retrouve les textes bouleversants et les voix célestes tant appréciés par leurs fans, mais aussi des instants de liberté, de célébration. Le titre d’ouverture « House » donne le ton ; sur un rythme entraînant, ce sont des paroles péremptoires que l’on entend : This is my place, my house, my rules. « Il s’agit de dessiner des frontières autour de soi », explique Hannah, qui a aujourd’hui 34 ans. « Lorsque j’ai atteint la trentaine, mon état d’esprit a basculé et je ne me suis plus jamais sentie victime de quoi que ce soit. Je me suis dit que faire de la musique devrait être amusant, et c’est ce que nous allons faire ».

Le son de London Grammar est toujours aussi riche, passant aisément de la pop à des sonorités plus électroniques. Le deuxième titre de l’album, « Fakest Bitch », est une ballade dépouillée, accompagnée d’un piano et d’une guitare, mais ce sont là aussi des paroles tranchantes qui créent le contraste : Don’t turn to me with the driest tears that you’ve been faking for years (Ne te tourne pas vers moi avec les larmes les plus sèches que tu feins depuis des années), chante Hannah, s’adressant à cette ennemie fictive. Ce titre a été écrit en une heure seulement et contient l’enregistrement vocal original. « Il me met aussi un peu mal à l’aise, ce qui est bon signe, je pense », dit-elle en riant. « Il est venu si rapidement, les paroles sont virulentes mais font partie de mes meilleures ».